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25/11/2010

Lobbys pro-OGM

Titre initial :

Un demi milliard de dollars

pour influencer

la politique en matière d’OGM

 

OGM.jpg

Selon un rapport publié en novembre 2010 par Food & Water Watch, c’est 572 millions de dollars qui ont été dépensés depuis 1999 par les 50 plus grandes entreprises, qui possèdent des brevets sur l’agriculture et l’alimentation - comme Syngenta, Monsanto, BASF, Bayer - et deux associations professionnelles impliquées dans les biotechnologies et l’agriculture - Biotechnology Industry Organization (Bio) et CropLife America - pour mener des campagnes ou organiser du lobby auprès du Congrès en vue de favoriser l’introduction des biotechnologies végétales.

Cette somme est répartie ainsi : 547 millions de dollars ont été dépensés pour du lobby directement auprès du Congrès et 22 millions de dollars ont été donnés à des candidats au Congrès.

Le rapport note aussi une augmentation des dépenses au cours de la dernière décennie. Ainsi, les dons représentaient 2,4 millions de dollars en 2000, et 5,3 millions de dollars en 2008.

Une part importante de cet argent a servi à éviter que la nourriture issue d’OGM puisse être étiquetée comme le réclame une majorité d’étatsuniens, ou à faire pression sur des gouvernements étrangers pour qu’ils ne limitent (voire n’interdisent) pas les cultures transgéniques.

Le rapport donne de nombreux exemples. Ainsi BIO a dépensé plus de 4 millions de dollars au cours du premier semestre 2010 pour que la FDA autorise les animaux transgéniques et qu’elle fasse pression sur l’Union européenne pour qu’elle revienne sur sa décision d’interdire la viande issue d’animaux clonés.

Par ailleurs, cette organisation s’est mobilisée financièrement en 2004 pour défendre le projet de loi HR 4561 dont le but était de promouvoir les biotechnologies agricoles à l’extérieur des États-Unis ou pour faire accepter la résolution n°252 qui visait à utiliser l’OMC pour attaquer les réglementations européennes sur les OGM.

Le rapport précise aussi que ces entreprises emploient plus de 300 anciens membres du personnel du Congrès ou de la Maison Blanche.

Parmi eux, John Bradley Holsclaw qui, après avoir été onze ans conseiller du Sénateur Bob Dole, a créé sa propre agence de lobby, Tongour Simpson Holsclaw, laquelle a eu comme client Monsanto, Bio et Aventis.

La connaissance précise des rouages de l’administration américaine lui a permis d’opérer un lobby efficace.


Auteur : Rédaction infogm.org
Source : www.infogm.org

 

La riposte des lanceurs d'alerte

La riposte des lanceurs d'alerte

 

par Corinne Lepage

 

Le procès qu’intente Gilles-Eric Séralini, soutenu par le Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (CRIIGEN), contre Marc Fellous et son association de défense des OGM est une grande première.

C’est la première fois, en effet, que des scientifiques, lanceurs d’alerte, décident de faire juger le caractère diffamatoire du dénigrement personnel et systématique dont ils sont l’objet.

D’habitude, ce sont les lobbys qui assignent les lanceurs d'alerte pour dénigrement de leurs produits: Mouvement pour le droit et le respect des générations futures (MDRGF) pour les pesticides, Robin des Toits pour les ondes électro-magnétiques, Pierre Menneton pour le sel, ou qui obtiennent leur mise à l’écart (Christian Vélot pour les OGM ou hier André Cicollela pour les éthers de glycol).

Cette pratique du dénigrement des scientifiques qui ont, par leurs études, mis en lumière des risques associés à des produits ou des technologies n’est pas nouvelle.

Dans son rapport de 2000 intitulé "Signaux Précoces, leçons tardives, le principe de précaution 1896-2000", l’Agence Européenne pour l’Environnement avait décrit de manière détaillée et étayée par de nombreuses notes comment, depuis l’amiante (c’est-à-dire les dernières années du XIXe siècle) les lobbys s’étaient organisés –de mieux en mieux– pour faire taire ceux qui soulignaient des risques potentiels, en les marginalisant et en s’attaquant personnellement à eux plutôt que discuter du bien fondé de leurs thèses.

Avec les cigarettiers, la manière de faire s’est perfectionnée: des scientifiques de renom comme Fred Singer étaient embauchés par les industriels de la cigarette pour défendre la thèse de l’absence de preuve de la nocivité du tabac et le caractère peu sérieux des scientifiques qui démontraient le contraire.

Cette pratique est passée aujourd’hui à un stade industriel avec les climato-sceptiques, dont les liens au moins, aux États-Unis, avec certains pétroliers –et en particulier Exxon– ne sont plus à démontrer.


Il est du reste piquant de noter que les organisateurs du faux débat sur l’absence de cause anthropique au changement climatique sont précisément... les mêmes que ceux qui auparavant avaient durant 20 ans entretenu le faux débat sur la dangerosité du tabac.

Nous assistons aujourd’hui au même phénomène pour les OGM.

L’association qui dénigre le professeur Gilles-Eric Séralini est composée de personnes qui ont des liens avec l’agrosemence.

Le conseil de Gilles-Eric Séralini a établi, preuves à l’appui, que 14 membres de cette association avaient déposé des brevets auprès des agrosemenciers~ et que 12 d’entre eux administraient ou étaient employés par une firme agrosemencière.

Quant à Marc Fellous , il omet dans son CV de préciser qu’il a déposé 2 brevets pour la société YEDA qui est la partie commerciale de l’institut Weismann.

Il n’y a rien de déshonorant à travailler pour les organismes fabricant des OGM et à déposer des brevets.

En revanche, il est tout à fait anormal de se prétendre expert défenseur d’une science qui serait désincarnée, désintéressée et détachée de toutes considérations mercantiles en omettant soigneusement de préciser son activité réelle.

Il est encore plus anormal de bâtir une stratégie de défense des groupes ou intérêts pour lesquels on travaille en dénigrant des chercheurs dont le seul tort est de gêner ces groupes.

Il est enfin purement scandaleux d’avoir ce type de comportement pour éviter qu’un sujet de santé publique ne vienne sur la table et pour tenter de dissimuler une vérité qui dérange. Or, c’est précisément le sujet.

L’étude que Monsanto et l’Association française des biotechnologies végétales (AFBV) reprochent au professeur Séralini est celle qui démontre la potentialité de conséquences sanitaires des OGM.

La bataille consiste à éviter, comme dans le cas de l’amiante, que des études, indépendantes des agrosemenciers, soient menées à bien, car elles risqueraient de faire éclater le problème au grand jour et de permettre la mise en cause des industriels qui aujourd’hui évitent leur responsabilité grâce au risque de développement.

Celui-ci permet de ne pas mettre en cause la responsabilité d’une firme quand l’état des connaissances, au moment de la mise sur le marché, ne permet pas de connaître un risque.

Donc, ne pas chercher, c’est être sûr de ne pas trouver et par conséquent de ne pas être responsable des conséquences futures. Donc haro sur tous ceux qui essaieraient de faire de la recherche, a fortiori qui trouveraient des effets sanitaires aux OGM.

Ainsi, seule la justice peut se prononcer pour faire en sorte que la controverse scientifique puisse se dérouler normalement et pas par invective et que les études indispensables à la sécurité sanitaire de nos concitoyens soient enfin réalisées.


Source : www.mediapart.fr

19/11/2010

Georges Cuvier et la Vénus noire

Georges_Cuvier.jpgGeorges CuvierVénus-hottentote.jpg

et la Vénus noire 


 

Suite à la sortie du film "La Vénus Noire", une polémique s'est développée sur le net quant au rôle de Georges Cuvier dans le traitement infligé à cette femme.

 

La direction de France Culture a saisi au bond cette occasion. Elle a demandé à Aurélie Luneau de consacrer son émission "la Marche des sciences" du jeudi 18 novembre 2010  à l'évocation de la personnalité de Georges Cuvier.

 

Invités à cette émission Éric Buffetaut, paléontologue, spécialiste des dinosaures et d'histoire des sciences et Thierry Malvesy, responsable du Muséum Cuvier de Montbéliard, ont commenté le film et le rôle de Cuvier dans l'affaire de la Vénus hottentote, mais également pour parler de Georges Cuvier dans l'ensemble de sa carrière.

 

Éric Buffetaut est directeur de recherche au CNRS. Il est l'auteur de l'ouvrage : Cuvier, le découvreur de mondes disparus paru en 2002 aux éditions Belin-Pour la Science, collection : Les génies de la science.

 

Buffetaut-Cuvier.jpg

 

S'il fut un mandarin, ce fut Cuvier. S'il fut un génie, ce fut aussi Cuvier. La vie de Cuvier est intéressante, son œuvre scientifique plus encore. Cuvier nous a ouvert des mondes disparus qui existaient autrefois à la surface du globe terrestre. Ii a révélé l'importance du phénomène d'extinction des espèces et donné à la paléontologie naissante les méthodes qui assurèrent son succès dès les premières décennies du XlXe siècle. Récemment les progrès de la géologie et de la paléontologie ont réhabilité un des aspects les plus critiqués de la pensée de Cuvier, le catastrophisme.

 

 

Thierry Malvesy est responsable du Muséum Cuvier de Montbéliard. Il est l'auteur d'un ouvrage récent (octobre 2010) paru aux éditions Sekoya et consacré à Charles Louis Contejean, un autre naturaliste originaire comme Cuvier du Pays de Montbéliard.

 

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Charles Louis Contejean (1824-1907) était un savant oublié. Thierry Malvesy a voulu tirer de l'ombre ce « soldat de la science ».

 

Si la science progresse grâce à des génies universels tels que Georges Cuvier, Charles Darwin ou Alfred Wegener, elle avance aussi grâce au travail plus obscur de nombreux chercheurs qui accumulent les observations et les interprétations à l'échelle locale ou régionale.

 

Même s'il revient aux génies de faire jaillir une lumière nouvelle, le mérite de ces travailleurs plus modestes n'en est pas moins grand, et leur rôle est essentiel. Charles Louis Contejean fait partie de cette catégorie de scientifiques, ces chercheurs qui ont fait avancer les sciences par un travail de terrain acharné et compétent.

 

Né en 1824 alors que Georges Cuvier s'interrogeait sur les « révolutions du globe », il mourut en 1907, quand Ernest Rutherford posait les bases des datations radiométriques qui permettront enfin de donner un âge précis aux ères géologiques.

 

Charles Louis Contejean fut parmi les derniers naturalistes universels, capables d'exceller dans de nombreuses disciplines. S'il fut professeur de géologie et de zoologie en Université, ces deux passions furent la botanique et la climatologie, et son combat fut de défendre le patois montbéliardais. Autant de domaines auxquels il a apporté de nombreuses contributions. Mais grâce à cette centaine de publications, Contejean nous montre surtout que seuls les écrits restent.

 

Thierry Malvesy fait revivre un homme à la personnalité forte mais attachante, dont la vie et l'œuvre correspondent à une période de grandes transformations dans les sciences.

 

D'autres ouvrages intéressants sur Georges Cuvier.

 

Thierry Malvesy et Jean-Claude Vadam ont également publié L'herbier de Georges Cuvier, édition Ville de Montbéliard, 2007.

 

Cuvier-Cardot.jpgClaude Cardot est l'auteur de Georges Cuvier - La révélation des mondes perdus, un ouvrage paru aux éditions Sekoya en 2009 et préfacé par Thierry Malvesy.

 

Claude Cardot est un Montbéliardais, ancien ingénieur des Automobiles Peugeot, est un passionné de l'évolution, de la paléontologie et de l'histoire des sciences.
C'est cette passion qu'il a voulu partager avec tous ceux qui veulent comprendre l'origine de la diversité du monde vivant. Pourquoi ce grand scientifique, homme sincère et de bonne volonté, savant au rayonnement universel, n'a-t-il pas accepté la transformation des espèces qui aboutira, après Lamarck et Darwin, à la théorie de l'évolution. Pour mieux connaître et comprendre ce grand naturaliste né à Montbéliard le 23 août 1769 et mort à Paris le 13 mai 1832, Claude Cardot analyse sans malveillance ni complaisance sa vie et son oeuvre.


Selon Cuvier, des catastrophes naturelles très soudaines et dévastatrices avaient fait disparaître des populations entières de la surface de la Terre, remplacées ensuite par des groupes d'animaux différents et d'organisations plus complexes. La révélation de ces mondes disparus, reconstitués seulement à l'aide de quelques vestiges sortis des profondeurs de la Terre, provoqua en son temps une excitation que le lecteur ressentira encore aujourd'hui à la découverte de ce livre.

 

Un ouvrage fondamental sur Georges Cuvier et son œuvre. Il est dû à Philippe Taquet et s'intitule : Georges Cuvier : naissance d'un génie. Éditions Odile Jacob (avril 2006). L'auteur est professeur de paléontologie au Muséum d'Histoire Naturelle, dont il a été le directeur. Philippe Taquet est membre de l'Académie des Sciences et l'un des meilleurs spécialistes mondiaux des dinosaures, sur lesquels il a publié notamment l'Empreinte des dinosaures.

 

georges_cuvier_naissance_dun_génie.jpgGeorges Cuvier (1769-1832), fondateur de l'anatomie comparée et de la paléontologie, a été l'une des grandes célébrités scientifiques du début du XIXe siècle. Son œuvre de zoologiste a bouleversé nos connaissances de la nature et des mondes disparus. Avec lui, l'homme se penche sur le passé de la Terre et sur les catastrophes qui ont marqué l'histoire de la vie.

 

Mais Cuvier, nommé tout jeune au Muséum en pleine Révolution française, fut aussi un homme de pouvoir, jalousé et admiré, qui traversa les régimes en ces temps troublés. Philippe Taquet reconstitue, pas à pas, la vie de cet illustre naturaliste à partir de nombreux documents inédits. Il éclaire d'un jour nouveau la genèse de ses idées scientifiques, retrace son ascension fulgurante et dresse un étonnant tableau des années où notre connaissance des êtres vivants s'affirme alors même que la France se déchire.

 

 

16/11/2010

Characées du nord-est de la France

Conservatoire-botanique.jpgGuide illustré des Characées

du nord-est de la France

 

par Gilles Bailly et Otto Schaefer 


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Les Characées sont des végétaux aquatiques mal connus du grand public malgré leur intérêt en tant qu'espèces sentinelles de pollution des eaux douces. Il faut être reconnaissant à Gilles Bailly, phytosociologue au CBNFC, d'appeler l'attention des hydrobiologistes et du grand public sur le rôle de ces algues particulières.

En effet, les Characées contribuent à l’édification d’habitats à forte valeur patrimoniale, les prairies benthiques à charophytes, et elles caractérisent de nombreuses communautés végétales d’habitats d’intérêt communautaire, les "eaux oligo-mésotrophes calcaires avec végétation benthique à Chara sp." (Code Natura 3140). Les Characées sont également connues pour être très sensibles à diverses pollutions ; elles sont de ce fait des révélateurs de la bonne santé écologique des milieux qui les abritent.

Ce guide permettra de faire avancer la connaissance de ce groupe encore mal connu en France malgré l’importance de celui-ci dans la détermination de communautés végétales d’habitat d’intérêt communautaire et dans le domaine de la bio-indication.

35 taxons sont présentés à travers des fiches richement illustrées de photographies indispensables pour la détermination difficile dans ce groupe. Vous trouverez également dans chaque fiche une description du taxon ainsi que de nombreux renseignements sur son habitat (écologie, phytosociologie, répartition).

Ce guide gratuit, réalisé grâce aux soutiens de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) Franche-Comté et de la Région de Franche-Comté, permettra une meilleure intégration des Characées dans les expertises faites sur les milieux aquatiques. 


Pour recevoir cet ouvrage, il vous suffit de  faire parvenir à l’adresse suivante, une enveloppe C4 (renforcée à bulles, avec vos coordonnées) timbrée à 4,05 € pour les envois en France métropolitaine*.Un seul ouvrage sera envoyé par personne.


Conservatoire botanique national de Franche-Comté 

maison de l’environnement de Franche-Comté

7 rue Voirin 

25000 BESANCON


* Pour les personnes habitant en dehors de cette zone, merci de contacter le conservatoire botanique.


Tél. 03 81 83 03 58 - Fax 03 81 53 41 26 - cbnfc@cbnfc.org - www.cbnfc.org

 

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07/11/2010

Des citadins à la campagne

Des citadins à la campagne

 

 Un livre de Robert Chapuis

 

Dans son ouvrage, Robert Chapuis retrace l'évolution des campagnes du Doubs entre 1975 et 2005, révélant des mutations considérables. En trente ans, les différences sociales et culturelles entre les citadins et les ruraux se sont estompées.

Beaucoup d'employés des villes se sont installés dans les zones péri-urbaines, tandis que les campagnards ont été attirés par les emplois et les services urbains. Le nombre d'agriculteurs, d'ouvriers et d'artisans a diminué, au profit des agents du secteur tertiaire.

Sur le plan culturel, la pratique religieuse a faibli, la vie associative est devenue plus importante et réglée sur le modèle citadin.

La rénovation des vieilles demeures a donné une nouvelle forme aux villages.

L'augmentation des loisirs de plein air et le développement des hébergements ruraux ont renouvelé les usages de la nature.

Les restructurations administratives, avec le regroupement des communes rurales qui les amène au niveau démographique des petites villes, ont contribué à ce phénomène d'uniformisation.

L'auteur conclut avec humour que “d'un point de vue économique, social et culturel il n'y aura bientôt plus de ruraux et encore moins de campagnards, il n'y aura bientôt plus que des citadins vivant à la campagne !"

 

chapuis-1.jpg

 

 Vers des campagnes citadines, le Doubs (1975-2005)

CHAPUIS R., MILLE P. & FRANCART C.

Presses universitaires de Franche-Comté Cêtre, 2007. - 206 p.
ISBN 978-2-84867-168-0
Robert Chapuis

06/11/2010

Sites scientifiques pédagogiques

Le magazine Sciences et Avenir présente dans son numéro d'octobre 2010 un dossier comprenant 100 sites scientifiques qu'il juge les meilleurs. Ci-dessous, quelques sites sélectionnés dans la rubrique "S'instruire".

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Expérimentations en ligne

 

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Conférences en ligne

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Environnement en ligne

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Santé en ligne

 

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Sites d'information scientifique

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Jeux scientifiques

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Création artistique sur le net

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Visites virtuelles

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01/11/2010

Nature jurassienne par Michel Juillard

Nature jurassienne

par Michel Juillard

 

Dans le cadre de l'Année internationale de la Biodiversité, Michel Julliard, un "vieux de la vieille" de la protection de  la Nature dans le Massif du Jura, publie un ouvrage de plus de 300 pages présentant la biodiversité du Jura à l'aide de photographies. Cet ouvrage sort de presse le samedi 20 novembre prochain.

 

Je cherche à réaliser des images qui montrent la beauté d’une espèce végétale, une attitude ou le comportement insolite d’un animal, un détail anatomique ou une couleur particulière. La netteté de chaque document reste pour moi la valeur fondamentale.


Michel Juillard, biologiste

 

Nature-jurassienne.jpg

 

Quelques commentaires de spécialistes.


De très belles images figurent à chaque page de ce livre. Elles me rendent presque jaloux. J’aimerais vraiment toutes les voir figurer en point d’orgue dans ma photothèque.


Claude Nardin, photographe

 

L’ouvrage de Michel Juillard est un hymne à l’émotion, un hymne à l’enthousiasme. C’est aussi un hymne à un petit coin de terre, un hymne à la nature. Quand on a contemplé de telles images, on sait ce que le mot beauté signifie, tout simplement.


Eric Grossenbacher, botaniste

 

Commande par internet: m.juillard@sunrise.ch

 

Format: 245 x 285 mm, relié,
couverture laminée en quadrichromie
Contenu: 304 pages
(plus de 300 illustrations en couleur)
Sortie de presse: novembre 2010
Prix de souscription: jusqu’au 23 décembre 2010, CHF 55.– (€40.–)
dès le 24 décembre 2010, CHF 69.– (€50.–)
Frais d’envoi en sus. TVA 2,4% comprise (dès le 01.01.2011, TVA 2,5%).