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12/04/2013

Mésange bleue au nourrissage

Il y en a pour tous les goûts

 

par Dominique Delfino

photographe naturaliste

 

Mésange-bleue-Delfino-450.jpg

Cliché © Dominique Delfino

 

Pour attirer les oiseaux en quête de nourriture durant l'hiver, Dominique Delfino prépare un joli panier bien garni de fruits et de graines qui favorise des conditions de prises de vues intéressantes.

« Embarras du choix pour cette petite mésange bleue que l'on peut observer sur le point de nourrissage. À bien y regarder, notre mésange se concentre, non pas sur la pomme plutôt destinée aux merles, mais aux noix décortiquées et inserrées dans le fruit afin de stabiliser quelques instants notre oiseau le temps d'une image. Une situation dont profitera aisément dame mésange pour mon plus grand plaisir, l'oeil rivé derrière mon objectif. »

Scène de vie au Kenya

SCÈNE DE VIE DANS

LE MASAÏ MARA

 

 par Dominique Delfino

photographe animalier

 

[De retour du Kenya où il animait un stage photo dans la réserve du Masaï Mara, Dominique Delfino nous fait partager cette image pleine de tendresse et de délicatesse].

 

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Cliché © Dominique Delfino

 

« Remarquant une famille de lions se déplaçant dans les hautes herbes de la savane accompagnée de très jeunes lionceaux, je demande au chauffeur de prendre un peu de distance en se positionnant dans l'axe des félins, espérant que ceux-ci poursuivent leur déplacement dans notre direction.

Les jeunes lionceaux se fatiguant à travers la végétation font l'objet de toute l'attention des lionnes. Mais lorsque l'un deux peine à suivre lors d'un passage à découvert, la mère, dans la plus grande attention, saisit son petit pour le faire traverser et le conduire à l'abri, les hyènes étant les principaux prédateurs des lionceaux.

Une scène de vie dont il faut profiter pleinement tout en gardant un œil dans l'objectif ».

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11/04/2013

Terre de renards

Terre de renards

 

par Dominique Delfino

photographe animalier

 

Le Haut-Doubs est actuellement le terrain de prédilection que j'affectionne tout particulièrement avec l'observation et le suivi de terriers de renards.

La rigueur de l'hiver a retardé la reproduction de ce mammifère que l'on pouvait observer facilement chasser sur la neige, les campagnols se faisant plus rares durant cette longue période hivernale.

Malgré les conditions météo déplorables de ce printemps 2013, les premiers renardeaux montrent leurs museaux depuis une   quinzaine de jours.

Par grand soleil, les renardeaux savourent de très longs moments à l'extérieur de leur terrier, découvrant leur environnement au cours de scènes de jeux extraordinaires. Souvent épuisés, les renardeaux regagnent leur terrier en fin de journée, me laissant l'opportunité de réaliser de nombreux clichés.

 

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Clichés © Dominique Delfino

 

Une vidéo intéressante : le renard chassant sous la neige.

 

La chasse au renard : Au plus près d’une battue au renard

Source printanière

Source printanière

 

par Dominique Delfino

photographe naturaliste et animalier

 

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Cliché © Dominique Delfino

 

C'est toujours dans la côte qui mène aux Terres de Chaux que je trouve mon inspiration ces derniers temps.

Un bruit d'eau courante attire mon attention en me promenant dans les pâtures de ce versant abrupte, dominant la vallée du Doubs. Je découvre alors le captage d'une source d'eau vive émergeant d'une conduite totalement recouverte de mousse. L'eau y jaillit par saccades dans une fraîcheur et une transparence que la lumière de printemps met en scène.

Couché par terre, l'appareil photo bloqué sur mon sac à dos, j'en profite pour réaliser une série de clichés au temps de pose très long, afin de traduire au mieux cette projection d'eau harmonieuse, favorisée par les conditions météo de ces derniers jours.

Rapace aux petits soins

Rapace aux petits soins

 

par Dominique Delfino

Photographe animalier

 

Contacté dernièrement par une habitante de Montbéliard préoccupée par la présence permanente d'un rapace couché au sol dans son jardin, je me rends aussitôt sur place afin de voir s'il s'agit d'un oiseau blessé.

 

Je découvre alors un jeune mâle d’Épervier d'Europe qui, semble t-il, présente une blessure à la patte nécessitant l'examen par un vétérinaire.

 

Le rapace sera aussitôt  pris en charge, la peau de la patte ayant été complètement déchirée probablement lors d'un accrochage avec un fil de fer lors de la chasse de l'épervier poursuivant un oiseau, sa proie principale.

 

Mais heureusement, toute la ''mécanique osseuse'' apparente ne semble pas atteinte, ce qui permettra au vétérinaire de recoudre rapidement la peau.

 

Transféré au centre de soins ATHENAS de Lons-le-Saunier, notre épervier y séjournera le temps de se rétablir avant de retrouver la liberté ce qui malheureusement n'est pas toujours le cas lors de ce type de blessures.

 

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Cliché © Dominique Delfino

Eaux vives sur la Doue

Eaux vives sur la Doue

par Dominique Delfino

Photographe naturaliste et animalier

 

La pluie de ces derniers jours a très largement redonné vie à la cascade de la source de la DOUE en amont du restaurant de la papeterie de Glay. L'image de cette cascade témoigne de cette ambiance, sujet d'un travail de groupe lors d'une animation photo le dimanche 6 octobre, encadrée par le photographe.

 

Le site du moulin de la Doue, la source jaillissant de la grotte et la cascade qui lui succède constituent au fond de cette reculée dominée par un amphithéâtre de falaises, un cadre magnifique dans ce petit bout du monde.

 

Avec comme seule ambiance sonore à cette saison l'eau vive qui déferle sur les rochers moussus, profiter du temps qui passe à simplement contempler le ruisseau s'engager dans la petite vallée, suffit à se ressourcer dans ce petit coin de nature encore sauvage.

 

Source-de-la-Doue-450.jpg

Cliché © Dominique Delfino

06/03/2013

Photographes naturalistes

Photographes naturalistes
La liste ci-dessous répertorie les sites de photographes animaliers et naturalistes dont j'ai particulièrement apprécié la valeur artistique et scientifique de leurs œuvres
- Florence Pallot photographer
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Des photos magnifiques, toutes renseignées en anglais. Chaque espèce est identifiée avec le nom latin et  qui défilent dans un site somptueux concocté par Vanessa Dubois.
Dominique Delfino
Dominique Delfino est un photographe animalier franc-comtois. Pour lui, l'image naît de la lumière, le sujet n'en étant que la représentation. Il a publié en librairie plusieurs albums richement ilustrés et commentés par des naturalistes confirmés.
Dominique-delfino-450.jpg
Florent Cardinaux
Florent Cardinaux est un chasseur d'images de nature et de vie sauvage qu'il capture sur les contreforts du Jura français. Accompagnant la publication du livre
"D'une Aube à l'autre"
 une exposition de photos est disponible. Les haïkus de William Chauvin accompagnent chaque photographie.
Florent-cardinaux450.jpg

20/02/2013

Royal, le Milan

Royal, le Milan

 

par Dominique Delfino

Photographe naturaliste et animalier

 

Si les Cigognes blanches ont déjà été signalées à plusieurs reprises dans la région, il est également possible d'observer de retour de migration, un très grand et beau rapace à cette époque de l'année.

 

À l'affût dans la neige sur le plateau de Brognard, j'observe le comportement de Buses variables profitant de quelques proies abandonnées lorsque se dessine dans le ciel le vol spectaculaire et majestueux de deux milans royaux.

 

Chassés constamment par les corneilles, les milans les déjouent d'un vol acrobatique pour leur échapper. À ma grande surprise, l'un deux se pose à proximité d'une buse, le milan semblant très intéressé par la proie de celle-ci.

 

Je profite de ce bref instant pour déclencher avant que la buse ne riposte pour conserver sa place car il est assez rare que le milan royal se pose au sol. Habituellement, le milan royal effectue un vol plongeant sur sa cible.

 

Milan-royal+buse-Delfino-450.jpg

Cliché © Dominique Delfino

 

En cette fin d'hiver froid et enneigé, les animaux souffrent. Les buses notamment sont au bout de leurs réserves et ont beaucoup de mal a trouver leur nourriture. Affaiblies, elles sont victimes de collisions routières et, dans le meilleur des cas, elles sont apportées au Centre de Sauvegarde de la Faune Sauvage à L'Étoile. Buses, chauve-souris, chouettes, hérissons, la salle de soin du centre Athénas ne désemplit pas. 

Un reportage de France 3 Franche-Comté.

28/01/2013

Au cœur de la glace

Au cœur de la glace

 

par Dominique Delfino

Photographe paysagiste et animalier

 

Image abstraite réalisée lors de l'épisode de glace que nous avons connu en janvier 2013. C'est bien au chaud, que je me plonge au cœur de la matière en observant de très près le détail de la glace qui recouvre les vitres de ma véranda. J'y découvre un monde extraordinaire qui me rappelle celui des images satellites des régions glaciaires alors que je suis à l'échelle d'une surface de quelques centimètres carrés.

 

En promenant mon objectif à travers la glace, c'est une forme étrange qui me rappelle celle d'un homme, dont l'existence ne tient qu'au froid me laissant le temps de réaliser les clichés d'un monde éphémère.

 

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Cliché © Dominique Delfino

20/01/2013

Lapins dans la glace

Lapins dans la glace

 

par Dominique Delfino

photographe paysagiste et animalier

 

Ils courent sur la neige, glissent sur la glace mais c'est toujours à proximité d'un terrier que ces petits lapins de garenne se tiennent pour plonger et se mettre à l'abri en cas de danger.

 

 

En ce dimanche de janvier, je profite de cet épisode de verglas pour observer le comportement de cette population de lapins implantée dans les prairies bordant le Doubs près de Colombier Fontaine.

 

Les lapins sauvages doivent se méfier de nombreux prédateurs contre lesquels ils n’ont aucune défense, si ce n’est de rester immobiles pour ne pas se faire repérer ou de s’enfuir pour se réfugier dans leur terrier.

 

En cette période hivernale, ils se nourrissent de racines et quand la nourriture se fait plus rare d’écorce d’arbres. Mais dans la neige glacée bouger le moins possible est encore la meilleure façon de faire face aux dépenses d'énergie comme en témoigne ce cliché.

 

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Cliché © Dominique Delfino

 

19/11/2011

Il était des villages

Dans la rubrique : les collègues ont du talent, voilà un poème aux accents pergaudiens traité en fable de La Fontaine et dû au talent de Charles Pellegrinelli.


Il était des villages

 

Il était des villages, éloignés des circuits

Où un même patronyme, parfois inscrit sur l’huis,

Était peu signifiant pour qui cherchait client,

Et seuls les sobriquets étaient vraiment parlants.

 

Le village de Blussans abritait les Ravey

Étrappe pour les Godard, Crosey  les Cœurdevey.

Les lieux d’habitation précisaient les familles

Le Raymond « des Essarts », du Moulin, dit la Guille.

 

Un surnom se gardait plusieurs générations

Mais celui de la Guille mérite explication.

Sa famille de meuniers vivait dans un écart

Qu’avait choisi l’aïeul, un sacré débrouillard.

 

Arsule, on l’appelait, qu’était un chaud lapin.

L’avait une chiée de gnos, au tof, dès le matin.

Son épouse, la Gretchen, enlevée en Bavière

Belle armoire de chêne, fonctionnait à la bière.

 

De retour du moulin, l’Eugène du puits Fenot

Confia à sa moitié, qu’il avait vu tantôt

Gretchen un peu plus ronde. Il s’était fait traité

De polisson vicieux, de vieux cochon bâté.

 

On remarqua bientôt, les allées et venues

De Marie, la sage-femme, surnommée guette-au-c…

Excusez le langage, sans fioriture aucune

Si ce n’est du plus cru, dans toute la commune.

 

C’était là contenu, d’échanges du lavoir,

Où les femmes pouvaient sans risquer l’engueuloir,

Apporter complément aux dires de la voisine

Avec  appréciations parfois des plus coquines.

 

 

Mais les jours défilaient et le bruit du ruisseau

N’était pas perturbé par les cris d’un puceau.

L’ouverture de la chasse devint sujetpressant

Écartant, pour un temps, des mégères, les cancans.

 

Au retour d’une battue, nos chasseurs dépités

Juraient les Nom-de-Dieu, mille fois répétés

Car la chienne du Léon se trouvait en chaleur

Et les chiens du canton, à chasser, n’avaient cœur.

 

Réunis chez l’Adèle, comme le voulait l’usage

Aux murs du vieux café montraient nemrods en rage.

Quand Miraut de ces lieux, trop vieux pour la battue,

Sur le sol usagé, en vain, se frottait l’ cul.

 

Un restant de crotte, une guille, c’est le nom,

Était resté collé et le rendait grognon,

Mais amusait beaucoup l’bambin de la famille

Qui s’écria bientôt : « elle est tombée la guille »

 

Juste à ce moment-là, la porte du bistrot

S’ouvrit avec ce cri : « Il est pondu le chiot »

Comment voulez-vous donc ignorer ces deux cris ?

La Guille fut  baptisé. Personne n’en fut surpris.

 

Charles Pellegrinelli, novembre 2011

 

18/11/2011

À l'image du Doubs

À l'image du Doubs

 

'' A l'image du Doubs-1.jpg

Cliquer sur l'image pour l'agrandir


Pour information, le livre "À l'image du Doubs" vient de sortir depuis quelques jours de l'imprimerie IME de Baume-les-Dames.
Le prix est de 40 euros (+ 13 euros de frais d'emballage et d'envoi).

Pour tout renseignement, s'adresser à Michel Cottet.

 

 

03/10/2009

Courbet et les paysages jurassiens

courbet_logo.jpgCourbet et les paysages jurassiens


par André Guyard

 

Un colloque « Courbet, peinture et politique » qui s'est déroulé du 24 au 26 septembre 2009 à Besançon, a abordé, entre autres, le problème de la relation entre œuvres artistiques et ompréhension de la nature.


De nombreuses œuvres de Gustave Courbet (1819-1877) dépeignent des paysages et scènes de son pays natal. Pour le peintre d’Ornans, « la peinture est un art essentiellement "concret" et ne peut consister que dans la représentation des choses réelles et existantes » (in Manifeste du réalisme).



Enfant de la campagne, il parcourt falaises, grottes, sources, plateaux et vallées, il pêche, il chasse. Et ses tableaux reflètent cette vie quotidienne, avec la nature pour décor. Une nature marquée géologiquement par l’érosion qui façonne des paysages karstiques : gouffres, grottes, résurgences, reculées ; une identité du Jura faite de ruptures et d’eau. Imprégné du paysage, il n’en peint pas la globalité, mais cadre ses tableaux sur des éléments qui lui donnent un sens. S’il ne s’est pas intéressé aux gouffres, il a beaucoup représenté les sources, la source de la Loue, celle du Lison.



Par exemple, l’entrée de la grotte Sarrazine se trouve au pied d’une immense arche de 100 m de haut et 30 m de large. Courbet, pourtant, ne choisit pas de peindre la magnificence du lieu ; il cadre son tableau sur l’entrée de la grotte, décide de la figurer un jour de crue (ce qui arrive deux à quatre fois par an)... Les interprétations psychanalytiques sont nombreuses sur ce sujet ; elles alimentent l’idée que le territoire peint par Courbet est un territoire initiatique.

 

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La Grotte Sarrazine (tableau de Gustave Courbet)

Le pêcheur présent en bas à droite de la grotte Sarrazine est surprenant. Jamais il n’a été vu de pêcheur à cet endroit : il y a rarement de l’eau et donc aucun poisson. Courbet n’a-t-il pas voulu poser là un élément de son enfance ? Et l’on reviendrait alors au territoire initiatique. En tout cas, un territoire qui fonctionne comme référentiel. Lorsqu’il peint Bonjour Monsieur Courbet, qu’il dit se situer dans l’arrière-pays de Montpellier, on ne peut s’empêcher, si l’on est, comme Pascal Reilé, hydrogéologue, de reconnaître au fond les lignes des falaises du val de Loue... et de transposer la scène sur le plateau de Flagey.


La Franche-Comté de Courbet est très minérale, liée à sa compréhension très fine de la géologie. Alors que les plantes et arbres ne sont pas peints avec toute la rigueur d’un botaniste, il devient naturaliste quand il s’agit de représenter la roche et les sources... Les stratifications sont précises, les différentes formes de calcaires composant la voûte ou le socle des sources sont apparentes. Tous les éléments géologiques sont scrupuleusement respectés. Cette compréhension fine, il la doit sans doute à son amitié avec le géologue Jules Marcou, rencontré durant son enfance.

Jules Marcou (1824-1898) est un géologue autodidacte, un peu iconoclaste, mais qui envisage les massifs montagneux comme des systèmes. Il s’évade d’une géologie purement descriptive des roches pour concevoir une construction dynamique et une structuration des massifs. Marcou initie une géologie fonctionnelle du massif jurassien abordant l’hydrogéologie et l’électromagnétisme. Il transmet à Courbet cette lecture scientifique du paysage. On doit aussi à cette amitié, qui va durer toute leur vie, la conservation de la météorite tombée à Flagey en 1868. Courbet a en effet mandaté un habitant du plateau pour qu’il l’envoie à Marcou afin qu’il l’étudie. Elle est aujourd’hui conservée au Muséum national d’histoire naturelle.

 

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Photographie de Gustave Courbet

Courbet, peinture et politique

 

Gustave Courbet est célèbre pour son activisme politique, notamment pendant la Commune. Quels liens relève-t-on entre art et politique dans son œuvre ? Admirateur de Proudhon, qu'il qualifie « d'ami très intime », Courbet se situe-t-il pour autant dans la même pensée philosophique ? Les idées politiques du peintre, démocrate affirmé, sont-elles présentes dans sa peinture ? Sont-elles présentes même en ces paysages peut-être traversés des questions sociales ? Ces questions et d'autres ont été au cœur du colloque « Courbet, peinture et politique », organisé, du 24 au 26 septembre 2009 à Besançon, par le laboratoire de Recherches philosophiques sur les sciences de l'action, la Maison des Sciences de l'Homme et de l'Environnement Claude Nicolas Ledoux de l'université de Franche-Comté et le musée des Beaux Arts de Besançon, avec le soutien du conseil général du Doubs. Il s'intègre dans un projet de recherche des philosophes et historiens sur les idées socialistes, républicaines et démocratiques au XIXe siècle et leurs prolongements dans le XXe.


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Courbet : la source de la Loue

 

Contact : Hervé Touboul - Laboratoire de Recherches philosophiques sur les sciences de l'action - Université de Franche-Comté -Tél. (0033/0) 3 81 66 54 43 - htouboul@aol.com

Contact : Anne Vignot - Laboratoire Chrono-environnement - Université de Franche-Comté - Tél. (0033/0) 3 8l 66 64 47 47anne.vignot@univ-fcomte.fr

Contact : Pascal Reilé - Cabinet Reilé Pascal - Tél. (0033/0) 3 81 51 89 76 - pascal.reile@eabinetreile.fr

Source : En Direct, le Journal de la Recherche et du transfert de l’Arc Jurassien numéro 225 - juillet-août 2009

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